Salut à tous,
Place à la huitième édition de notre bilan hebdomadaire de la Ligue 1. A onze journées de la fin, des écarts très importants se créent, tandis que d'autres zones sont, comme souvent, particulièrement serrées, et donc sans doute sujettes à un suspense qui ne devrait cesser que lorsque la 38e journée aura expiré.
Ainsi, Paris et Montpellier ne se quittent plus en tête du championnat, à des années lumières, désormais, du reste de la troupe. Avec leur large succès contre Caen (3-0), qui conforte leur statut de meilleure équipe à domicile puisqu'ils n'ont perdu que cinq points à la Mosson, les Héraultais comptent ainsi plus de points d'avance sur le LOSC, troisième (10), que ce dernier, leader l'an passé à la même époque, sur le cinquième d'alors, le PSG (7) ! De plus, les deux leaders sont les meilleurs au nombre de points (58 et 57) depuis Lyon, en 2006/2007 (61 points), qui comptait treize points d'avance sur... Lens. Une autre époque.
De son côté, le PSG, vainqueur à Dijon (1-2), qui n'avait plus été relégable depuis début novembre, a profité de la défaite de Lille à Lyon sur le même score pour s'emparer de la première place à l'extérieur. Seul Rennes compte autant de succès à l'extérieur que les Parisiens (7), seul Montpellier a marqué autant (22) et personne n'a perdu aussi peu hors de ses bases (1).
Chez les buteurs, Olivier Giroud a mis un terme à une période sans but longue d'un mois avec Montpellier, en inscrivant son premier penalty, le troisième seulement pour Montpellier, puisque Belhanda avait transformé les deux premiers. Quant à Souleymane Camara, il a inscrit son cinquième but sur six en temps que remplaçant, le meilleur total de la saison, tandis que Aït-Fana, qui avait ouvert le score, a marqué son premier but depuis avril... 2010.
Six des douze meilleurs buteurs du championnat ont profité d'une journée un peu plus riche en but que d'habitude en 2012 (26) pour marquer. Oliech augmente le total de la meilleure saison de sa carrière (9), puisqu'il n'avait jamais dépassé le chiffre de 4 depuis son arrivée en France, en janvier 2006, tout comme Aubameyang (11), et évidemment Giroud, pour sa deuxième saison au sein de l'élite (17), quand Gouffran est à un but de son record en Ligue 1 (10 avec Caen, en 2007/2008). Les buteurs africains, d'ordinaire dominateurs, ont cassé la baraque ce week-end : ils ont signé 9 des 13 buts étrangers du week-end. Ils ont ainsi marqué 163 buts, soit plus de 24 % du total. Les Sud-Américains suivent avec... 76 buts. A noter qu'aucun brésilien n'a scoré ce week-end, une rareté.
Place à la huitième édition de notre bilan hebdomadaire de la Ligue 1. A onze journées de la fin, des écarts très importants se créent, tandis que d'autres zones sont, comme souvent, particulièrement serrées, et donc sans doute sujettes à un suspense qui ne devrait cesser que lorsque la 38e journée aura expiré.
Ainsi, Paris et Montpellier ne se quittent plus en tête du championnat, à des années lumières, désormais, du reste de la troupe. Avec leur large succès contre Caen (3-0), qui conforte leur statut de meilleure équipe à domicile puisqu'ils n'ont perdu que cinq points à la Mosson, les Héraultais comptent ainsi plus de points d'avance sur le LOSC, troisième (10), que ce dernier, leader l'an passé à la même époque, sur le cinquième d'alors, le PSG (7) ! De plus, les deux leaders sont les meilleurs au nombre de points (58 et 57) depuis Lyon, en 2006/2007 (61 points), qui comptait treize points d'avance sur... Lens. Une autre époque.
De son côté, le PSG, vainqueur à Dijon (1-2), qui n'avait plus été relégable depuis début novembre, a profité de la défaite de Lille à Lyon sur le même score pour s'emparer de la première place à l'extérieur. Seul Rennes compte autant de succès à l'extérieur que les Parisiens (7), seul Montpellier a marqué autant (22) et personne n'a perdu aussi peu hors de ses bases (1).
Chez les buteurs, Olivier Giroud a mis un terme à une période sans but longue d'un mois avec Montpellier, en inscrivant son premier penalty, le troisième seulement pour Montpellier, puisque Belhanda avait transformé les deux premiers. Quant à Souleymane Camara, il a inscrit son cinquième but sur six en temps que remplaçant, le meilleur total de la saison, tandis que Aït-Fana, qui avait ouvert le score, a marqué son premier but depuis avril... 2010.
Six des douze meilleurs buteurs du championnat ont profité d'une journée un peu plus riche en but que d'habitude en 2012 (26) pour marquer. Oliech augmente le total de la meilleure saison de sa carrière (9), puisqu'il n'avait jamais dépassé le chiffre de 4 depuis son arrivée en France, en janvier 2006, tout comme Aubameyang (11), et évidemment Giroud, pour sa deuxième saison au sein de l'élite (17), quand Gouffran est à un but de son record en Ligue 1 (10 avec Caen, en 2007/2008). Les buteurs africains, d'ordinaire dominateurs, ont cassé la baraque ce week-end : ils ont signé 9 des 13 buts étrangers du week-end. Ils ont ainsi marqué 163 buts, soit plus de 24 % du total. Les Sud-Américains suivent avec... 76 buts. A noter qu'aucun brésilien n'a scoré ce week-end, une rareté.
Les étrangers ont donc marqué 50 % des buts du week-end, tout comme les joueurs à l'extérieur. Gameiro et Aubameyang ont ainsi marqué leurs huitièmes buts en déplacement (sur 11 et 9 buts), rejoignant en tête de la spécialité Giroud. Ces trois joueurs comptent... quatre buts d'avance sur leurs poursuivants, notamment Oliech, Gouffran, Hazard, Gomis ou... Debuchy.
L'attaquant belge du LOSC, avec 11 buts, qui compte désormais deux nouveaux dauphins chez les moins de 21 ans, Lacazette et Aboubakar (4 buts chacun). Six équipes n'ont encore vu aucun de leurs jeunes marquer le moindre but cette saison, notamment le PSG, Bordeaux ou Montpellier, pourtant réputé pour sa formation ! Comme quoi les jeunes montpelliérains possèdent quand même une petite expérience de la Ligue 1.
Après leur bonne performance de la dernière journée (7 buts), les défenseurs ont encore brillé (5), avec les premiers buts de Paulle (Dijon) et Tiéné (PSG), mais aussi les troisièmes buts des défenseurs d'Evian Mongongu et Cambon, et le quatrième de Chedjou (Lille), qui est seulement devancé par son coéquipier Debuchy et Monzon (Nice, 5). Mais, des six défenseurs buteurs, un seul l'a emporté ce week-end, à savoir Tiéné.
On peut noter également la neuvième passe décisive dans le jeu de Jérémy Ménez, le leader de la spécialité devant Bastos et Giroud (7). Difficile à imaginer, de la part d'un joueur dont on reproche le jeu personnel et sa propension à ne pas donner ses ballons... pareil pour la soit-disant carence du PSG à ne pas briller dans le jeu : personne n'a adressé autant de passes décisives (32) que le club parisien, pas même Lyon et Montpellier (25), malgré le statut de meilleure attaque des Héraultais. Le PSG qui est le club qui a le plus marqué sur passe décisive dans le jeu (65,31 %) devant les Verts (63,64) et Nancy (62,5). Saint-Étienne qui est plus que jamais l'équipe la plus habile dans le dernier quart d'heure, avec neuf points récupérés, après les deux à Valenciennes ce week-end. Le PSG (+6) est l'équipe qui y marque le plus (17) et Evian le moins (3), quand Marseille et Brest sont les plus hermétiques durant la fin des matches (5), même si les Olympiens y ont perdu leur dernier match, à Ajaccio (1-0).
Voici à présent mon équipe type.
A plus tard !
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