Salut à tous,
On y est, places aux demi-finales de la Ligue des Champions ! Ça rigole plus là. Avec la "disparition" de Marseille, Nicosie ou même Benfica, sauf leurs respects, on a l'impression que les choses sérieuses commencent vraiment, avec ces deux très grosses affiches.
Bien sûr, il y manque peut-être un nom comme celui du Milan AC, que j'aurais bien vu à ce niveau, voire mieux, du moins avant que le club lombard ne connaisse son coup du mou récent. On a également du mal à comprendre comment Chelsea, et non un des Manchesters, qui sont nettement devant les Londoniens en Premier League, ou ce Bayern, dominé par Dortmund en Bundesliga, peuvent être présent à ce niveau. Et pourtant, ça choque moins que si les nommés dans le paragraphe précédent étaient passé. D'ailleurs, des quatre demi-finalistes, seul le Real Madrid est leader de son championnat. En même temps, ils sont deux Espagnols, qui peuvent encore tous deux gagner la Liga...
Les deux demi-finales se ressemblent. Les deux mastodontes espagnols dominent chacune d'entre elles de leur statut de grand favori pour la victoire finale, face à des outsiders qui sont loin d'être des victimes consentantes. Le Real, à mon avis (le match se déroule en ce moment, je vais essayer de ne pas me faire influencer par son déroulement...), risque de passer une soirée compliquée sur la pelouse d'un Bayern qui n'a plus en tête que la Ligue des Champions, dont la finale se déroulera sur sa pelouse, qui a bien fait tourner ses hommes forts durant les dernières semaines, notamment ses ailiers Ribéry et Robben, au détriment peut-être du championnat d'ailleurs, et qui a l'habitude de prendre le jeu à son compte dans son stade, quelque soit l'adversaire. De plus, le Real n'a jamais gagné à Munich, y concédant 8 défaites et un nul ! Mais c'était aussi le cas de Montpellier au moment d'aller à Marseille la semaine dernière... les statistiques sont faites pour être contredites. Mais le Bayern ne devrait pas être aussi conciliant que les Olympiens.
Côté Français, on peut se féliciter que deux de nos compatriotes vont se disputer une place en finale, Benzema et Ribéry. Deux éléments de notre compartiment offensif, ce qui n'était pas gagné vu le rendement de l'attaque des Bleus depuis six ans (pas plus d'1,5 but par match en moyenne depuis 2006). Espérons que ça les galvanise pour l'Euro !
Bref, on voit quand même mal ce Real se prendre les pieds dans cette demi-finale. Mais si un des deux Espagnols devait ne pas être au rendez-vous du Clasico qui se profile lors de la finale de la compétition, ce serait quand même lui. Parce qu'il est encore plus difficile d'imaginer Chelsea sortir le Barça, dans l'autre confrontation de la semaine.
Soyons clair, Chelsea est un grand club, et il n'a rien volé. Il a gagné 6 matches sur 10 en C1, ne s'inclinant que deux fois et inscrivant 21 buts. Personne n'est venu encore s'imposer à Stamford Bridge, tout le monde y a même perdu cette saison, encaissant plus de trois buts par matches en moyenne. Reste que les adversaires des Londoniens (Leverkusen, Genk et Valence en poule, puis Naples, battu en prolongations, et Benfica) ne font pas partie des clubs que l'on voyait atteindre les demi-finales cette saison. Son parcours, sinon facile, du moins sans accrocs, nous permet de relativiser quelque peu la présence des hommes de Di Matteo à ce niveau. Dans le même temps, Barcelone, son futur adversaire, s'est coltiné deux fois Milan, le Bayern a devancé City en poules, et si le Real a également eu un parcours peinard, il devance le Barça en championnat, ce qui suffit à le placer un peu au-dessus des Londoniens dans la hiérarchie de ces demi-finales...
Surtout, Chelsea n'est plus celui qui écrasait le football anglais, et quasiment l'Europe, de sa puissance financière, lorsque son prpriétaire dépensait plus de 100 millions d'euros dans le recrutement. Qui sont les stars de l'équipe d'Abramovich aujourd'hui ? Ivanovic, David Luiz, Mata ou Sturridge sont de bons jeunes, très prometteurs, mais ne sont pas encore les terreurs qu'ont été Terry, Cole, Lampard ou Drogba, même si ces derniers ont encore de beaux restes. Seul Cech reste l'immense gardien qu'il est, et Raul Meireles est une valeur sûre, quand Torres est un échec total, même s'il semble renaître un peu en ce moment. Quant à Essien ou Kalou, jadis des cadres de l'équipe, ils jouent plus les utilités qu'autre chose. Mais ne les enterrons pas de suite, tout de même, surtout que les anciens ont une revanche à prendre sur les Catalans, après la demi-finale retour de l'édition 2009, conclue par le but miraculeux d'Iniesta à la dernière minute (1-1), et le fameux "it's a fucking disgrace" de Drogba... Barcelone ne possède pas non plus un bilan fabuleux à Chelsea : 4 défaites, 1 nul et 1 victoire...
Voilà, je vois qu'à la pause, et comme je le sentais, le Bayern bouscule le Real, mené sur un but de Ribéry... Le Real n'a pas l'habitude d'être mené, on va vite voir sa réaction ! A plus tard !
On y est, places aux demi-finales de la Ligue des Champions ! Ça rigole plus là. Avec la "disparition" de Marseille, Nicosie ou même Benfica, sauf leurs respects, on a l'impression que les choses sérieuses commencent vraiment, avec ces deux très grosses affiches.
Bien sûr, il y manque peut-être un nom comme celui du Milan AC, que j'aurais bien vu à ce niveau, voire mieux, du moins avant que le club lombard ne connaisse son coup du mou récent. On a également du mal à comprendre comment Chelsea, et non un des Manchesters, qui sont nettement devant les Londoniens en Premier League, ou ce Bayern, dominé par Dortmund en Bundesliga, peuvent être présent à ce niveau. Et pourtant, ça choque moins que si les nommés dans le paragraphe précédent étaient passé. D'ailleurs, des quatre demi-finalistes, seul le Real Madrid est leader de son championnat. En même temps, ils sont deux Espagnols, qui peuvent encore tous deux gagner la Liga...
Les deux demi-finales se ressemblent. Les deux mastodontes espagnols dominent chacune d'entre elles de leur statut de grand favori pour la victoire finale, face à des outsiders qui sont loin d'être des victimes consentantes. Le Real, à mon avis (le match se déroule en ce moment, je vais essayer de ne pas me faire influencer par son déroulement...), risque de passer une soirée compliquée sur la pelouse d'un Bayern qui n'a plus en tête que la Ligue des Champions, dont la finale se déroulera sur sa pelouse, qui a bien fait tourner ses hommes forts durant les dernières semaines, notamment ses ailiers Ribéry et Robben, au détriment peut-être du championnat d'ailleurs, et qui a l'habitude de prendre le jeu à son compte dans son stade, quelque soit l'adversaire. De plus, le Real n'a jamais gagné à Munich, y concédant 8 défaites et un nul ! Mais c'était aussi le cas de Montpellier au moment d'aller à Marseille la semaine dernière... les statistiques sont faites pour être contredites. Mais le Bayern ne devrait pas être aussi conciliant que les Olympiens.
Côté Français, on peut se féliciter que deux de nos compatriotes vont se disputer une place en finale, Benzema et Ribéry. Deux éléments de notre compartiment offensif, ce qui n'était pas gagné vu le rendement de l'attaque des Bleus depuis six ans (pas plus d'1,5 but par match en moyenne depuis 2006). Espérons que ça les galvanise pour l'Euro !
Bref, on voit quand même mal ce Real se prendre les pieds dans cette demi-finale. Mais si un des deux Espagnols devait ne pas être au rendez-vous du Clasico qui se profile lors de la finale de la compétition, ce serait quand même lui. Parce qu'il est encore plus difficile d'imaginer Chelsea sortir le Barça, dans l'autre confrontation de la semaine.
Soyons clair, Chelsea est un grand club, et il n'a rien volé. Il a gagné 6 matches sur 10 en C1, ne s'inclinant que deux fois et inscrivant 21 buts. Personne n'est venu encore s'imposer à Stamford Bridge, tout le monde y a même perdu cette saison, encaissant plus de trois buts par matches en moyenne. Reste que les adversaires des Londoniens (Leverkusen, Genk et Valence en poule, puis Naples, battu en prolongations, et Benfica) ne font pas partie des clubs que l'on voyait atteindre les demi-finales cette saison. Son parcours, sinon facile, du moins sans accrocs, nous permet de relativiser quelque peu la présence des hommes de Di Matteo à ce niveau. Dans le même temps, Barcelone, son futur adversaire, s'est coltiné deux fois Milan, le Bayern a devancé City en poules, et si le Real a également eu un parcours peinard, il devance le Barça en championnat, ce qui suffit à le placer un peu au-dessus des Londoniens dans la hiérarchie de ces demi-finales...
Surtout, Chelsea n'est plus celui qui écrasait le football anglais, et quasiment l'Europe, de sa puissance financière, lorsque son prpriétaire dépensait plus de 100 millions d'euros dans le recrutement. Qui sont les stars de l'équipe d'Abramovich aujourd'hui ? Ivanovic, David Luiz, Mata ou Sturridge sont de bons jeunes, très prometteurs, mais ne sont pas encore les terreurs qu'ont été Terry, Cole, Lampard ou Drogba, même si ces derniers ont encore de beaux restes. Seul Cech reste l'immense gardien qu'il est, et Raul Meireles est une valeur sûre, quand Torres est un échec total, même s'il semble renaître un peu en ce moment. Quant à Essien ou Kalou, jadis des cadres de l'équipe, ils jouent plus les utilités qu'autre chose. Mais ne les enterrons pas de suite, tout de même, surtout que les anciens ont une revanche à prendre sur les Catalans, après la demi-finale retour de l'édition 2009, conclue par le but miraculeux d'Iniesta à la dernière minute (1-1), et le fameux "it's a fucking disgrace" de Drogba... Barcelone ne possède pas non plus un bilan fabuleux à Chelsea : 4 défaites, 1 nul et 1 victoire...
Voilà, je vois qu'à la pause, et comme je le sentais, le Bayern bouscule le Real, mené sur un but de Ribéry... Le Real n'a pas l'habitude d'être mené, on va vite voir sa réaction ! A plus tard !
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